LuxDev – Agence Luxembourgeoise pour la Coopération au Développement recherche des candidatures pour le poste d’un Assistant Technique National Secteur Privé
Assistant Technique National (ATN) – secteur privé du Programme BKF/301 « Programme d’appui au développement de l’économie verte génératrice d’emplois pour les jeunes dans l’ouest du Burkina Faso ». BenkadiBaara, Tous ensemble pour l’emploi des jeunes !
La mobilisation de l’expert est également partagée avec les autres programmes bilatéraux luxembourgeois et européens mis en œuvre par LuxDev au Burkina Faso.
2. Lieu et durée du travail
Lieu de travail : Ouagadougou avec déplacements fréquents à l’intérieur du pays (Régions des Hauts Bassins, du Centre Ouest, et de la Boucle du Mouhoun).
Durée du contrat : 39 mois
3. Organisation du travail
Temps plein. Possibilité de temps partiel à minimum 80% de présence.
4. Positionnement de l’organigramme
Les documents de référence au positionnement de l’ATN – secteur privé sont les suivants :
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la Convention de contribution NDICI AFRICA/2023/ 447-536 entre L’Union européenne, représentée par la Commission européenne, et LuxDev ;
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la convention signée entre l’État du Grand-Duché de Luxembourg et LuxDev ;
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la procédure « Délégation des pouvoirs de validation et de signature » ;
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et en particulier la description de l’action « Programme d’appui au développement de l’économie verte génératrice d’emplois pour les jeunes dans l’ouest du Burkina Faso » BenkadiBaara, Tous ensemble pour l’emploi des jeunes !
L’ATN secteur privé dépend hiérarchiquement du Conseiller Technique Principal (CTP) du Programme. Il assure une communication et une collaboration régulières avec le bureau pays, les partenaires de la contrepartie nationale aux niveaux central, déconcentré et décentralisé et les homologues.
Il travaille en étroite collaboration avec les autres experts et les coordinateurs régionaux du programme. Il accompagne une équipe composée des ATN secteur privé et économie verte en régions et de prestataires à mobiliser.
La gestion opérationnelle du programme sera assurée par une Unité de gestion du projet (UGP) comprenant une Cellule d’appui mutualisée (CAM) basée à Ouagadougou et dans les trois régions dotées chacune d’une antenne. L’UGP aura la charge de la coordination et de la gestion du programme. L’UGP est cogérée entre autres par le CTP et les responsables administratifs, financiers et opérationnels de la CAM.
5. But de la fonction
Les projets et programmes existants au second trimestre 2024 concernent le secteur de l’environnement (BKF/023) sous financement luxembourgeois, le secteur de l’éducation (BKF/025) sous cofinancement luxembourgeois et européen, de la formation professionnelle (BKF/026) sous financement luxembourgeois, et le nouveau programme Emploi – Jeunesse (BKF/301) quant à lui sous financement européen.
Le Programme BKF/301 intitulé « BenkadiBaara – Tous ensemble pour l’emploi des jeunes ! » a pour objectif global de « favoriser le développement de l’économie verte génératrice d’emplois décents pour les jeunes ». Son objectif spécifique est de « promouvoir l’emploi vert des jeunes femmes et des jeunes hommes pour le développement durable des régions d’intervention ».
L’intervention est localisée dans le « triangle » Ouagadougou – Koudougou – Dédougou – Bobo Dioulasso (OKDB). Les bénéficiaires directs de l’intervention sont estimés à 45.000 jeunes femmes et jeunes hommes de 16 à 35 ans. Une attention spécifique sera accordée aux jeunes de 16 à 24 ans qui sont en âge de rentrer sur le marché du travail, en particulier les jeunes filles. Il ciblera spécialement 5.000 jeunes déplacés internes et vulnérables, en particulier les personnes en situation de handicap, les mères de famille seules, les orphelins.
Tenant compte des objectifs visés par le programme, ce dernier devra impacter sur l’économie verte au sein des territoires d’intervention, et garantir l’accès des jeunes femmes et des jeunes hommes aux compétences vertes nécessaires pour l’accès à l’emploi et leur maintien dans leurs parcours professionnels respectifs, en particulier au sein des entreprises de l’économie verte.
L’ATN secteur privé a pour mission de d’impliquer et surtout de mobiliser le secteur privé et productif pour favoriser le développement de l’économie verte. Il s’agira de stimuler la motivation des jeunes pour le secteur et les entreprises qui la font grandir. Par ailleurs, l’expert accompagnera les entreprises de toute taille dans le verdissement de leur processus et surtout dans la création et le maintien d’emplois décents pour les jeunes femmes et les jeunes hommes des régions d’intervention du Programme. L’expert assurera la complémentarité en régions avec les autres interventions financée par l’Union européenne et les autres bailleurs européens, dont le Luxembourg, en particulier les programmes MAE/023 et BKF/023.
Dans la pratique, considérant que l’essentiel de l’intervention se déroule au plus près des bénéficiaires, en relation étroite avec les acteurs locaux de la formation et de l’emploi, l’expert veillera à un réel engagement du secteur privé / productif local pour l’économie verte et l’emploi dans les régions. Dans les différentes régions d’intervention, au moins 5000 entreprises ou organisations professionnelles seront accompagnées par les experts du secteur privé et de l’économie verte pour le développement des compétences professionnelles de l’économie verte.
Par son ambition et son ampleur, l’intervention se doit de constituer un catalyseur de la mobilisation de la jeunesse dans les régions et en particulier dans les métiers de l’économie verte. Les parcours des jeunes accompagnés et les expériences des champions seront autant de modèles qui pourront inspirer les générations suivantes, le secteur privé et les acteurs au sein des régions ciblées par le programme, mais également dans les autres régions du pays.
Les partenariats avec les acteurs du secteur privé de l’économie verte, à savoir les entreprises, les centres de formation, les établissements financiers ou encore les professionnels (maitres d’apprentissage, startup, etc.) seront quant à eux régis selon les règles de LuxDev en matière de subventionnement en faveur du secteur privé. Les acteurs humanitaires pourront également profiter du partenariat pour accélérer le verdissement de leurs processus et des actions qu’ils mènent.
Des établissements de recherche, prioritairement au Burkina Faso, seront mobilisés pour la réalisation d’études socio-économiques dans le cadre de l’économie verte, le matching formation-emploi-jeunesse, ainsi que pour la veille en matière de fragilité et le suivi d’impact du programme.
L’ATN secteur privé est porteur des valeurs de LuxDev. Il relaie la mission de LuxDev quant au renforcement des capacités. Il participe à la mise en œuvre de la vision de l’Agence. Il fait en sorte que l’ensemble des processus de l’Agence soit mis en œuvre en accord avec le Manuel Qualité de l’Agence.
6. Responsabilité et tache
En considérant une attention particulière et structurante au programme BKF/301, mais également en prenant en compte les priorités des autres programmes, en particulier la formation technique (BKF/025), l’éducation environnementale (BKF/023 et BKF/025), l’économie verte et les emplois verts et verdissants (BKF/023), les principales responsabilités de l’ATN secteur privé sont les suivantes :
Responsabilité n°1
développement d’une stratégie de mobilisation du secteur privé et de développement de l’économie verte
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analyser la situation économique et sociale existante du secteur privé, de l’économie verte, des métiers verts et verdissants dans les régions/provinces/communes d’intervention. Cette analyse concernera également la situation économique et sociale des jeunes, en plus de celle des acteurs économiques et des opportunités de l’économie verte. Cette analyse doit être actualisée de manière régulière et documentée et peut être complétée par des études spécifiques à piloter ;
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réaliser des études et des enquêtes pour recenser les métiers actuels et émergents dans l’économie verte, en tenant compte des attentes spécifiques des jeunes et des besoins du secteur privé ;
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développer et animer des partenariats avec des instituts de recherche en socio-économie et/ou en économie verte, idéalement basés dans les régions cibles, afin de faciliter les analyses et apporter un conseil de qualités aux acteurs, tant les décideurs du secteur privé que les autorités ;
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développer les stratégies de subventionnement en matière de formation et d’accompagnement afin d’assurer la pertinence des formations financées et de maximiser le taux d’insertion des jeunes dans des emplois durables ;
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développer les stratégies en matière d’appui à l’entreprenariat et l’intrapreneuriat en faveur de l’amélioration de l’attractivité des entreprises et en vue d’augmenter leur capacité à embaucher ;
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dès le démarrage du programme, veiller à la capitalisation des leçons apprises pour faciliter l’atteinte des résultats en matière d’insertion dans un principe de gestion axée sur les résultats (GAR).
Responsabilité n°2
veiller à la pertinence des formations professionnelle pour l’économie verte
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faciliter auprès des acteurs du secteur privé la caractérisation des besoins et la valorisation des compétences nécessaires pour leurs secteurs respectifs, et plus globalement au développement durable de l’économie verte régionale et de ses entreprises ;
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définir et/ou améliorer des référentiels précis de compétences pour chaque métier vert ou verdissant identifié, incluant les compétences requises et les opportunités d’emploi, en alignement avec les besoins du secteur privé ;
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maintenir un répertoire des métiers verts existants dans les régions d’intervention, en mettant en évidence les besoins des entreprises et les opportunités pour les jeunes ;
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accompagner les acteurs de la formation professionnelle et technique dans le développement de modèles économiques viables pour la formation ;
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accompagner le travail de développement des curricula et des modules de formation axés sur les métiers verts et verdissants, en collaboration étroite avec les entreprises locales pour garantir l’adéquation formation-emploi ;
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encourager l’intégration des technologies numériques et des innovations vertes dans les programmes de formation pour garantir la modernité des compétences acquises par les jeunes ;
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mettre en place et animer des réseaux et des cadres d’échange entre les centres de formation, les opérateurs économiques, et les structures d’encadrement, afin de créer des synergies entre l’offre de formation et la demande du secteur privé ;
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concevoir une démarche opérationnelle pour les centres de formation, les opérateurs et toutes autres structures de formation, dans la conception et la conduite de formations axées sur l’économie verte, mais également dans l’établissement de leurs modèles économiques respectifs ;
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assurer les due diligence nécessaires avec les différents porteurs et promoteurs de formations professionnelle et technique quant à leur capacité à assurer des formations de qualité et à la solidité de leur modèle économique ;
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stimuler les partenariats entre acteurs de formation professionnelle et technique et les acteurs du secteur privé et de l’économie verte, pour la formation et l’apprentissage de 45 000 jeunes (nombre total pour le programme) en vue de leur insertion durable ;
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faciliter des programmes de mentorat entre entrepreneurs expérimentés et jeunes entrepreneurs pour favoriser l’échange de connaissances et le développement de compétences entrepreneuriales spécifiques à l’économie verte ;
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faciliter et accompagner les stages, les apprentissages, et les placements professionnels pour les jeunes dans les entreprises, en veillant à l’adéquation des compétences acquises avec les exigences du secteur privé ;
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proposer des stratégies pour promouvoir l’entrepreneuriat vert par la promotion des métiers verts et verdissants.
Responsabilité n°3
stimuler un entreprenariat professionnel et responsable
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veiller à l’engagement effectif de 5000 entreprises et organisations professionnelles (nombre total pour le programme) pour le développement des compétences professionnelles de l’économie verte ;
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renforcer les compétences entrepreneuriales, financières et managériales des jeunes auto-entrepreneurs, acteurs de l’économie verte ;
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promouvoir des partenariats stratégiques avec des entreprises, des associations professionnelles et des organisations internationales pour soutenir les initiatives d’économie verte ;
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stimuler des partenariats avec des experts financiers et des institutions financières pour mettre en œuvre les services financiers verts introduits par les entrepreneurs de l’économie verte ;
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faciliter l’accès des jeunes entrepreneurs verts à des financements par le biais de subventions, de prêts ou de partenariats public-privé, en les accompagnant dans le montage de leurs projets ;
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organiser des forums, des ateliers et des conférences pour favoriser l’innovation et l’entrepreneuriat vert, en mettant en relation les jeunes, les formateurs et les entreprises ;
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sensibiliser les entreprises aux politiques et incitations gouvernementales visant à soutenir le secteur privé vert et les accompagner dans leur mise en œuvre.
Responsabilité n°4
favoriser l’insertion
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cartographier les possibilités d’emploi pour les jeunes dans les métiers verts et verdissants, en collaboration avec les entreprises locales pour identifier les compétences recherchées ;
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accompagner les entreprises à mettre en place des programmes et des politiques d’insertion pour les jeunes diplômés des formations vertes, en s’assurant de la durabilité de ces initiatives ;
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accompagner la mise en place de dispositif de matching jeune-compétence-emploi ;
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accompagner les acteurs régionaux/provinciaux/communaux afin qu’ils puissent agir de manière réactive par rapport aux besoins d’emplois du secteur privés et également aux besoin d’insertion des jeunes ;
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élaborer et promouvoir des politiques d’inclusivité pour garantir que les groupes vulnérables, y compris les personnes en situation de handicap, les mères de famille seules et les orphelins, bénéficient des opportunités créées par l’économie verte ;
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assurer l’inclusion effective dans les métiers verts et verdissants, et stimuler la viabilité des entreprises inclusives ;
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suivre et accompagner les jeunes dans leurs parcours d’insertion professionnelle au sein de l’économie verte.
Responsabilité n°5
renforcer les capacités humaines et sociales, ainsi que de communication
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renforcer les capacités au niveau individuel :
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identifier les besoins en formation et élaborer le plan d’actions afférent ;
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appuyer les partenaires dans l’identification des besoins en formation et l’élaboration du plan d’actions afférent ;
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appuyer à l’élaboration de rapports techniques ;
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appuyer à l’élaboration de rapports financiers ;
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appuyer à l’élaboration de planning d’activités ;
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appuyer dans la supervision des équipes :
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appuyer à l’élaboration de mécanismes de suivi et d’évaluation ;
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conseiller dans l’exécution des tâches quotidiennes ;
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délivrer des formations individuelles ou collectives adaptées
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renforcer les capacités au niveau organisationnel :
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appuyer la mise en place ou renforcer les dispositifs de reporting ;
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appuyer la mise en place ou renforcer les dispositifs de monitoring ;
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appuyer la mise en place ou renforcer les dispositifs de gestion ;
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appuyer la mise en place ou renforcer les dispositifs d’évaluation ;
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appuyer à l’élaboration de mécanismes de planification des activités et des financements ;
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appuyer à l’élaboration de cadre de partenariat ;
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appuyer à l’élaboration de mécanismes de circulation et diffusion des informations ;
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accompagner dans les processus d’identification et de sélection de fournisseurs de biens, travaux et services ;
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appuyer dans l’élaboration d’outils de promotion et communication ;
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appuyer la mise en place d’un système de gestion des connaissances ;
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appuyer la mise en place d’un système de classement et d’archivage de l’information ;
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évaluer l’impact institutionnel des solutions digitales déployées et ajuster les stratégies de transformation en fonction des résultats observés et des retours d’expérience
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renforcer les capacités au niveau institutionnel :
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conseiller et assister les partenaires dans l’élaboration, le suivi et l’évaluation d’une stratégie, d’une politique;
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conseiller pour la mise en œuvre de l’approche sectorielle ou autre ;
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conseiller pour l’élaboration des objectifs et des résultats.
Responsabilité n°6
gestion de l’information
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préparer et soumettre des rapports techniques et financiers détaillés aux comités de pilotage, à LuxDev et aux bailleurs de fonds, en mettant en évidence les résultats obtenus par les jeunes et les entreprises partenaires ;
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développer et maintenir une base de données complète des activités, résultats et leçons apprises, et produire des documents de support pour faciliter la diffusion des bonnes pratiques ;
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contribuer à la mise en œuvre d’un plan de capitalisation, partager les bonnes pratiques et les leçons apprises, et produire des supports et rapports de capitalisation, en mettant en avant les histoires de réussite des jeunes et des entreprises ;
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effectuer toute autre tâche liée à la fonction qui pourrait être assignée par les supérieurs hiérarchiques.
7. Communications
Contacts internes
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a des contacts fréquents avec le ROP, le CTP , la Cellule d’appui mutualisée (CAM) technique, les coordonnateurs régionaux et le personnel national impliqué dans la mise en œuvre du programme ;
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a des contacts réguliers avec les assistants techniques, les coordinateurs régionaux pour le suivi de la bonne exécution du programme, la coordination ;
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a des contacts fréquents avec le RR, le Chargé de Programmes, le ROP et/ou l’équipe du Bureau pays pour des demandes d’avis/décisions et d’appui et de conseil.
Contacts externes
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a des contacts quotidiens via les antennes régionales avec les partenaires régionaux, les directions régionales, les centres de formation pour la collaboration dans le cadre du programme, des échanges d’informations, de négociations et de résolution de problèmes ;
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a des contacts réguliers avec les acteurs digitaux au Burkina Faso, les organisation de jeunes et de professionnels, les centres de formation, les entreprises, les chambres consulaires, les organisations professionnelles et/ou toute autre structure engagée dans la formation et la promotion des métiers verts et verdissants ;
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a des contacts ad hoc avec les autres experts travaillant dans le domaine pour des échanges d’expériences et des exercices de capitalisation ;
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a des contacts fréquents avec les services étatiques chargés de la formation professionnelle, de l’emploi et de la transformation digitale.
8. Formation et/ou Expérience – obligatoire ou souhaitée
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maîtrise (Bac + 5) dans le domaine de l’économie ou dans un domaine équivalent (obligatoire);
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au moins 5 années d’expérience professionnelle dans le secteur privé à des fonctions de management et de gestion, et/ou dans le recherche en socio économie (obligatoire);
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expérience professionnelle en lien avec les compétences et l’emploi, avec le secteur privé et les acteurs publics (recommandé);
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expérience professionnelle internationale (recommandée) ;
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savoir faire en matière de transformation des systèmes et engagement en faveur des jeunes et de l’emploi (fortement recommandé);
-
maîtrise du français et excellentes compétences en anglais parlé et écrit ;
LuxDev s’engage à promouvoir l’égalité des chances et la diversité dans tous ses processus de recrutement. Nous valorisons la contribution unique que chaque individu apporte, indépendamment de son genre, de son âge, de son groupe linguistique, de sa religion, de son handicap ou de toute autre caractéristique protégée par la loi.
Nous encourageons activement une diversité de candidatures, y compris celles des femmes. Nous croyons que la diversité et l’inclusion sont essentielles pour le développement durable et le succès de nos projets et programmes.
BKF/301 Poste d’Assistant Technique National secteur privé
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